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Val et Alice in Wonderland

12 février 2013

La triste fin du petit enfant huître et autres histoires, Tim Burton

La triste fin du petit enfant huître et autres histoires est livre français/anglais écrit et illustré par Tim Burton, un de nos réalisateur vénéré.

Résumé de présentation par l'éditeur:

Fidèle à son univers d'une inventivité si particulière, mélant cruauté et tendresse, macabre et poésie, Tim Burton donne le jour à une étonnante famille d'enfants solitaires, étranges et différents, qui ne tarderont pas à nous horrifier, à nous émouvoir et à nous faire rire.

Un livre pour l'enfant qui est en nous.

Ce livre est constitué de 23 histoires courtes pleines d'ironie, d'humour noir et sarcasme. Toutes sont complètement loufoques et décalées, les fins sont pratiquement toutes tragiques et tous les personnages sont tout simplement monstrueux! Et pourtant on ne peut s'empecher de sourire, voire de rire, à chaque fin de page. Bien sûr tout est à prendre au second degrès... Les dessins ajoutent une réelle âme au texte et le style est en parfaite harmonie avec l'écriture. Burton emploi un ton très formel et un language assez soutenu pour justement trancher avec ce coté trash et loin des conventions. Il parvient en toute simplicité à nous faire partagé son monde. Je m'incline une nouvelle fois devant cet esprit de génie qui arrive toujours à faire passer des messages poignants tout en concervant son art. Art voilà ce que je retiens de Tim: de l'Art à l'état pur.

Voici quelques uns des personnages issus de l'imagination débordante de Tim Burton:

Val

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10 février 2013

L'honorable partie de campagne, Thomas Raucat

Voici pour tous les amoureux du Japon un livre fabuleux et unique en son genre ! 

Résumé de Le Livre de Poche:A Tokyo, en 1922, l'Exposition Universelle bat son plein. Parmi la foule des visiteurs, un européen suit deux jeunes japonaises avec l'intention manifeste de les aborder; un japonais tente non moins visiblement de rejoindre l'européen. Tous se retrouvent à bord de la grande attraction de l'année, l'hydroplane. Le premier arrive à ses fins : la plus jolie des deux inconnues accepte d'aller le surlendemain visiter avec lui l'île célèbre d'Enoshima. Le Japonais se précipite : nul autre que lui-même n'aura le plaisir de montrer Enoshima à l'honorable étranger et il l'attendra à la gare accompagné de quelques amis. Pour avoir les coudées franches, l'étranger décide de prendre un autre train que son hôte japonais. Il aura beau faire : les mille et une complications de la vie nippone vont se jeter à la traverse de ses projets galants.

Huit des personnes mêlées à cette aventure racontent leur journée : ces récits qui se succèdent se conjuguent, comme en un diorama qu'éclairent subtilement l'humour et la gentillesse, pour former progressivement une image du Japon d'une étonnante vérité. Le trait comique, presque caricatural au premier abord, s'approfondit et c'est une estampe de qualité qui surgit d'entre les pages du roman.


En ouvrant ce livre, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre et je l'avoue, dès les premières pages j'ai bien failli le refermer et sagement le ranger dans ma bibliothèque. Mais heureusement ma curiosité a repris le dessus et je n'ai pas été déçue ! Ce qui m'a dérangé au début c'est le langage et les us et coutumes nippones des années 1920 qui sont très différentes des nôtres et relativement dérangeantes. Mais pour comprendre l'enjeu principal il ne faut pas s'arrêter à ça.

Toutes les lignes comportent des découvertes pour le moins inhabituelles sur la vie au Japon. Je savais déjà que les mentalités y sont très différentes et que le fonctionnement de leur société n'a rien à voir avec le notre mais ce livre à été une véritable leçon d'ethnologie. J'aime beaucoup cette culture et ce pays et j'ai pu comprendre beaucoup de choses sur cette civilisation, ce que j'ai grandement apprécié ! L'histoire en elle même n'est pas très originale mais elle l'aborde de différents points de vue passant ainsi en revue toutes les classes sociales. Dans la première partie de l'histoire je me suis sentie  très proche de l'homme européen mais au fur et à mesure que l'on "côtoie" les Japonais, la tendance s'inverse on apprend à les apprécier. Au contraire on se rend compte de la sale mentalité de l'occidental qui n'est là que pour faire des conquêtes.

La fin, quant à elle, est très surprenante ! Jusqu'à la dernière ligne je n'ai pas compris où l'auteur voulait en venir mais en réfléchissant on peut comprendre le message qu'a voulu laisser l'auteur. Un message très pessimiste mais traité de manière forte et émouvante. L'auteur, Thomas Racaut, était un pilote de reconnaissance pendant la première guerre mondiale qui a séjourné au Japon en 1917. En apprenant cela j'ai été très surprise car je pensais que l'écriture était plutôt contemporaine (même si l'intrigue se déroule en 1922). En effet, j'ai trouvé ce livre assez moderne à sa manière. Voici donc une histoire que je ne peux que vous conseiller !

Val

10 février 2013

Série Rouge Rubis : le film

La série Rouge Rubis va être adaptée sur grand écran ! Ce film va sortir le 14 mars 2013 en Allemagne, son titre en VO est Rubinrot

La bande annonce (en allemand) m'a totalement conquise, le film a l'air super, les acteurs correspondent tout à fait aux personnages et je suis immédiatement revenue dans l'ambiance des romans rien qu'en visionnant cet extrait ! Je pense (et j'espère) que ce film va être une grande réussite ! Il reste juste a attendre une sortie française, qui n'est malheureusement pas encore prévue...

Alice.

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La bande annonce :

 

         

 

   

 

 

 



 

 

 

 

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Gidéon (Jannis Niewöhner) et Gwendolyn (Maria Ehrich)

source ICI

8 février 2013

Le journal de Mr Darcy, Amanda Grange

le-jou10Le Journal de Mr Darcy ou ORGUEIL ET PREJUGES Le point de vue de Darcy par Amanda Grange

Ne vous etes jamais demandé comment Darcy avait vécut sa folle passion pour Elisabeth Bennet? Comment il est tombé amoureux d'elle? Ce qu'il faisait lorsqu'il s'absentait de Netherfiel Park? Eh bien moi je me le suis demandé plus d'une fois! Être dans la tête du mystérieux Darcy est l'intéret principal de ce livre mais c'est aussi bon moyen pour revivre encore une fois la grande histoire d'Elisabeth et Fitzwilliam. Ce concept du journal et cette vision toute nouvelle de l'histoire m'ont énormément plu. Personnellement avant de lire ce livre j'étais partagée entre l'exitation de retrouver les personnages et la peur d'être déçue par un Darcy très loin de ce que j'avais imaginé.

Comme je le disais, l'écriture sous forme de journal m'a d'abors intrigué (Darcy un journal intime?) puis entièrement séduite. Un journal ça ne se prend pas à la légère, c'est un objet extrêmement personnel où on peut avoir accès à tous les sentiments de quelqu'un et pour ça je trouve que l'idée est excellente car c'est celle qui répond le mieux aux attentes du lecteur: connaître mieux Darcy et sa version de l'histoire! De plus on comprend mieux le déroulement des évenements dans le cours du temps grâce aux dates d'écriture. Je vous rassure Darcy n'est pas très rigoureux dans la tenue de son journal et beaucoup de ses journées son passées sous silence et seuls les grands moments sont bien détaillés.

Un autre aspect qui pèse dans la balance: une écriture fluide est agréable. Bien que soutenue, elle reste bien plus accessible que celle de Jane Austen. La retranscription des dialogues était aussi quelque chose qui me tenait à coeur car c'est point du livre originel que j'affectionne particulièrement et au final j'ai était plutôt satisfaite.

Le Darcy que j'ai découvert ou plutot redecouvert reste fidèle à lui même et en devient encore plus attachant. Quant à Elisabeth, sa description m'a déçue, je savais qu'elle n'était pas très jolie mais Keira Knightley avait faussé son image de jeune femme "sans aucune beauté" et ce livre m'a durement fait redescendre à la réalité. "Mais qu'est la beauté face à la personnalité et à l'intériorité" aurait dit Marie Bennet ^^ Je répondrais que même le caractère piquant qui me plaît tant chez Lizzy m'a agacée, oui vous avez bien lu, agacée! Je reste perplexe sur un autre détail (qui m'a pourtant dérangé tout au long de ma lecture...) : Pourquoi l'auteure fait-elle passer Bingley pour un coureur excentrique?! Voilà une question qui restera sans réponse au même titre que LA grande grande question finale: Mais qu'en aurait pensé Jane Austen?.

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Val

 

 

6 février 2013

BZRK, film en préparation !

Ces dernières années, conte tenu du succès de Twilight, les studios de cinéma ont trouvé le nouveau truc qui marche et leur rapporte un max : la littérature pour "jeunes adultes". On fait donc face à une énorme vague d'adaptations cinématographiques de romans àsuccès : Hunger Games, Les Ames Vagabondes, La Cité des ténèbres, Sublimes Créatures, Divergent et j'en passe... Cette industrie rapporte des millions aux studios et c'est groupe Sony Pictures qui a acquis les droits pour adapter BZRK, la dernière trilogie de Michael Grant (Gone), dont le premier est récemment sortit en France. On connaît déjà le nom du réalisateur : Michael Ross et des producteurs : Sam Raimi et Josh Donen. (source ICI) Le casting reste cependant encore inconnue à ce jour.

Pour plus d'infos, le site officiel français : http://www.bzrk-leslivres.fr et le tumblr officiel (en anglais) : http://bzrked.tumblr.com

Alice.

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3 février 2013

BZRK, Michael Grant

Grant Michael - BZRK

2040. Sadie McLure veut savoir qui a assassiné sa famille. Noah Cotton a besoin de comprendre ce qui a mené son frère à la démence. À la recherche de réponses, les deux adolescents se retrouvent projetés dans le monde fascinant de la nano-dimension et au coeur de la plus incroyable bataille jamais menée pour sauver la liberté des hommes. Un thriller haletant où toutes les manipulations biologiques, psychologiques ou politiques sont permises.

BZRK est sans aucun doute ma surprise littéraire du moment ! J'attendais beaucoup de cette nouvelle série de Michael Grant et je n'ai pas été déçue, bien qu'un peu déconcertée.

Le livre démarre fort. Les premier chapitres sont choquant, les événements décrits très violents. Mais cela ne donne que plus de force à la suite du roman : avant même de connaître l'identité des responsables on les déteste déjà. J'ai quand même eu du mal a entrer dans l'intrigue, je dois même avouer qu'il y a un chapitre que je n'ai absolument pas compris en le lisant mais ne vous inquiétez pas, tout s'éclaire par la suite.

L'auteur aborde dans ce roman un sujet fort : la liberté de penser. Car tous les personnages de ce roman (les "gentils" comme les "méchants") ont une capacité que de nombreux rêveraient de posséder : la possibilité de s'introduire dans le corps humain et de le contrôler. La moitié du roman se déroule donc dans la nano-dimension, que ce se soit par des biobots (Ce sont des créatures microscopiques constituées d'un fragment d'ADN d'un être humain. Elles sont sont liées à ce dernier qui se "dédouble" et vit simultanément dans le nano et le monde réel, il voit par les yeux de son biobots en même temps que par les siens) ou des nanobots (des créatures microscopiques artificielles) qui sont en quelque sorte les instruments de guerre des lignards qui les contrôlent et pénètrent grâce à eux dans le corps humain.

Sadie et Noah sont donc entraînés par les membres de BZRK (une organisation secrète) dans une aventure dont l'enjeu est de taille puisqu'une défaite pourrait entraîner la manipulation et l'asservissement de l'humanité toute entière. Deux idéologies sont mises en opposition : la liberté individuelle ou l’uniformisation des consciences, censée garantir la paix universelle (source : fnac)

J'ai beaucoup aimé les personnages, principaux comme secondaires. Ils sont tous un peu dérangés (psychologiquement parlant) mais attachants. J'ai particulièrement aimé Sadie. Elle est très intelligente, elle fait preuve d'un sang froid et d'une perspicacité impressionnants et bien supérieurs à la moyenne, elle est capable d'analyser ses pairs d'une manière assez effrayante. Elle a une aura énorme qui lui permet d'influencer à peu près n'importe qui. Noah a quand a lui un charme différent de Sadie mais tout aussi agréable.

Ce roman a quelque chose d'effrayant car il est d'une affolante réalité. En effet, les nanotechnologies sont de nos jours en plein essor et suscitent de nombreux débats, notamment concernant le transhumanisme (mouvement prônant l'utilisation des sciences et des technologies pour améliorer les capacités de l'être humain et qui juge certains aspects de l'être humain comme la souffrance, la vieillesse, le handicap ou la mort comme inutiles. source Wikipédia) et les effets néfastes qu'elles pourraient avoir sur la santé. Les nanotechnologies sont aussi utilisée dans l'armée et selon le philosophe Jean-Pierre Dupuy, " Les nano-armes seront à la bombe atomique ce que celle-ci était à la fronde " (source ICI). Ces technologies s'avèrent cependant très efficaces pour soigner des maladies comme le cancer.

Je ne peux donc que conseiller ce livre, un condensé d'émotions fortes comme sait si bien le faire Michael Grant (série Gone). Il nous amène à réfléchir sur un fait très actuel (voir plus haut) : les nanotechnologies, réflexion très bien portée par les deux protagonistes, Sadie et Noah.

Alice.

30 janvier 2013

Dark Eyes, William Richter

dark-eyes-3315173-250-400Née en Russie, Wally a été adoptée enfant par une riche famille new-yorkaise. Aujourd’hui l’adolescente de 16 ans, rebelle et futée a coupé les ponts avec sa famille et vit dans les rues de New York de larcins divers. En tombant par hasard sur des documents ayant trait à ses origines, Wally éveille l’attention d’un homme sans foi ni loi réputé pour sa sauvagerie : Alexei Klesko, un truand russe sur le chemin duquel les cadavres s’amoncellent. Le seul coup d’avance qu’a Wally est un détail d’importance : l’homme ignore qu’il est son père…  (source ICI)

   Je cherchais un roman policier pour ados sympa, la libraire me dirige immédiatement vers Dark Eyes. Une aventure dans les bas-fond de New York avec la mafia russe, pourquoi pas ? Je regarde vite fais la 4ème de couverture : "une page-turner absolu", "la nouvelle Lisbeth Salander est née". C'est décidé, je le prends. 

   Et bien j'ai été horriblement déçue ! Tout d'abord, ce livre n'est pas un policier mais un thriller. On y parle d'une héroïne forte, volontaire, qui vit dans la rue, enchaînant les squats avec ses amis, qui a appris à se débrouiller seule... Pas de problème, ce sont des caractéristiques que j'apprécie. Mais là, premier bug : Wally n'est pas une SDF orpheline, juste une ado rebelle qui a décidé de fuguer de chez ses parents adoptifs pleins aux as. Et dès qu'un petit imprévu se met en travers de sa route, elle rentre vite fait chez papa et maman ou utilise sa carte Platine  Americain Express, soit disant uniquement pour les urgences (réserver une suite pour 4 dans un hôtel de luxe). Wally perd donc pour moi beaucoup de sa crédibilité. Et malheureusement, ce n'est pas beaucoup mieux du côté de sa personnalité. Le personnage de Wally, comme tous les autres, n'est pas du tout attachant. Elle est froide, peu sensible et bien trop égoïste vis à vis des ses 3 amis qui eux n'ont pas la chance de posséder un compte en banque bien rempli. Elle fait un petit complexe de supériorité, pense être la seule apte à tous diriger et trouve tout à fais normal de les entraîner dans toute une histoire pour retrouver sa mère (qu'elle n'a jamais connue, dont elle ne sait rien), quitte à mettre leur vie en péril. 

   Quant à l'intrigue, j'ai trouvé qu'elle manquait cruellement d'originalité : une fille adoptée, qui n'a jamais connu  sa mère, souhaite la retrouver après avoir reçu une lettre écrite par elle mais elle se retrouve impliquée dans un tas d'embrouilles... De plus, je m'attendais a un rythme haletant, du suspens, de l'angoisse... Et bien pas du tout, j'ai trouvé ce livre ennuyeux, rien ne se passe avant les 50 dernières pages, la "révélation" finale est totalement incongrue (spoiler, surlignez : sa mère adoptive est en réalité sa mère biologique ! ), surprenante mais pas dans le bon sens. Tout comme Wally, les autres personnages manquent de profondeur, ils sont fade et leurs relations bien trop simples. J'ai été très déçue aussi du côté des méchants qui n'ont eux non plus aucun fond et j'ai attendu tout le roman une confrontation intéressante entre Wally et son père (le mafieux Klesko) qui n'arrive que vers la fin et reste dans la lignée du reste du roman : sans intérêt.

Alice.

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26 janvier 2013

Le journal de Briget Jones, Sharon Maguire

Le Journal de Bridget Jones réalisé par Sharon Maguire, d'après le roman d'Helen Fielding Bridget Jones’s Diary.

Briget, 32 ans, célibataire au tempérament bien trempé, cherche désespérément l'homme de ses rêves pour reprendre sa vie en main. Prenant de bonnes résolutions, Bridget n'hésitera pas à sortir le grand jeu pour plaire et pourquoi pas à son patron, le séducteur Daniel Cleaver (Hugh Grant). Mais la pauvre Bidget n'est pas au bout de ses peines ! Entre son ami d'enfance Mark Darcy (Colin Firth) qu'elle semble détester réciproquement et son patron qui n'est pas si honnête qu'il le prétend le choix va être rude... Mais que serait une bonne histoire de fille sans journal intime !

le-journal-de-bridget-jones[1]Bridget ! Quel phénomène ! LE personnage qui guérit de tous les maux. Si vous n'avez pas le moral et que vous broyez du noir, pas besoin de chercher un remède indéfiniment ! Ce film est la solution ! Une bonne tablette de chocolat, un plaid douillet en complément et une heure après vous voilà sur pied ! Dans le genre comédie romantique anglaise il fait partit des meilleurs ! Mais dans un style assez différent de Love Actually (pour moi l'autre grande comédie romantique par excellence: voir l'acticle "Notre sélection de Noël"). Le caractère de Bridget n'est pas facile à cerner au début mais on s'attache beaucoup à elle. Pour moi cette fille est un mélange singulier : à la fois fille célibataire prête à tout (et parfois vulgaire) mais aussi l'éternelle naïve au grand coeur. Bref le genre de film qui passe tout seul sans avoir a trop se creuser la tête et qui nous fait toujours autant rire après la dixième fois. Je ne m'attarde pas et je vous laisse découvrir...

Val

21 janvier 2013

Extraits

Trois petits extraits de La Cité des Ténèbres, tome 4 : Les Anges Déchus entre Simon et Jace  ^^

Simon : " Tu as une tête à faire peur

Jace cilla

- Il me semble que ce n'est pas le bon moment pour ce lancer des insultes à la figure, mais si tu insiste, je trouverai probablement quelque hose de bien senti.

- Non, je suis sérieux, tu as une sale tête.

- Et ça viens du type qui à le sex-appeal d'un pingouin ! Ecoute, je comprend que tu sois jaloux que le Bon Dieu ne t'ait pas aussi bien doté que moi mais ce n'est pas un raison pour...

- Je n'avais pas l'intention de t'insulter ! aboya Simon "

 

Jace : "Pas mal ta chambre. Minimaliste. Ca me plait.

Simon se rretourna sur le côté et déviseagea Jace d'un aire incrédule.

- Pitié, dis-moi que tu n'envisage pas de dormir ici.

Jace se pencha sur le rebord de la fenêtre.

- Tu n'as vraiment pas compris le concept de garde du corps, hein ?

- J'étais loin de me douter que tu m'aimais autant, marmonna Simon. Garde tes amis près de toi et tes ennemis encore plus près, c'est ça ?

- Je croyais que c'était : Garde tes amis près de toi histoire d'avoir quelqu'un sous la main pour conduire la voiture quand tu as décidé de te rendre chez ton ennemi en pleine nuit pour vomir dans ta boite aux lettres.

- Je suis a peu près sûr que ce n'est pas ça. "

 

Jace : " Je vois qu'on est rentré de son escapade matinale, dit-il d'un ton peu amène. Tu te croyais malin de filer comme ça ?

- Pas vraiment, admis Simon. Je me sentais à mi-chemin entre George Cloone dans Ocean's Eleven et les types de MythBusters mais en moins moche.

- Je me félicite toujours de ne rien comprendre à tes jacasserie, répliqua Jave. Ca me procure un sentiment de paix et de bien-être. "

Alice.

 

 

18 janvier 2013

Comment (bien) rater ses vacances, Anne Percin

Résumé de l'éditeur:
Pour échapper aux vacances en famille, Maxime choisit de les passer avec sa grand-mère, dans son pavillon du Kremlin (-Bicêtre). Il avait tout prévu pour couler des jours tranquilles devant son ordi,sauf la crise cardiaque de sa grand-mère. Le voilà seul pendant son hospitalisation, et les vacances vont se transformer en feuilleton délirant !

Comment (bien) rater ses vacances est un nouveau coup de coeur que je vous recommande à 200%! Bien sur il a plus de charme s'il est lu pendant les grandes vacances mais même en période de cours il reste un excellent moyen d'évasion et de détente! C'est exactement le genre d'humour que j'affectionne avec des répliques toutes plus délicieuses les unes que les autres. L'auteur fait preuve d'une culture générale hors du commun et dote ainsi son personnage d'un caractère à part avec un sacré répondant: pertinent, drôle et ironique à tout points de vue. Ce livre est un savant mélange de légèreté et de situations cocasses que seule une grande originalité rend possible. Dès les premières lignes on se dit: "Oulà! Ce Maxime va nous en faire voir de toutes les couleurs!". Tout au long de l'histoire on est seul avec lui et ainsi on lie une grande complicité. Pour moi son évolution est menée à la perfection et petit à petit le simple gamin désoeuvré gagne en maturité et en sensibilité (sans perdre son éternelle répartie ^^). Vous l'aurez compris ici l'humour est poussé à l'extrême, (jusque dans les notes de bas de pages qui sont plus là pour amuser le lecteur que pour l'éclairer sur un quelconque malentendu) et l'intrigue est un vrai bonheur.

Comment (bien) rater ses vancances est le premier tome d'une série composée de: Comment bien gérer sa love story et Comment devenir une rock star (ou pas)

Val

10 janvier 2013

London Boulevard, William Monahan

Résumé allo ciné:Mitchel sort de prison plein de bonnes intentions. Pourtant, lorsqu’il tombe sur son vieil ami Billy, un petit voyou à la recherche d’un complice, il accepte de l’aider en échange d’un toit. Incapable de rompre avec son passé, Mitchel fait la connaissance de Charlotte, une star de cinéma terrée dans un luxueux hôtel particulier pour échapper aux hordes de paparazzi, dont il devient rapidement le garde personnel.
Charlotte et Mitchel se rapprochent, envisageant même ensemble une nouvelle vie à Los Angeles. Mais il a déjà attiré l’attention de Gant, un puissant parrain de la pègre, qui voit en lui un atout précieux pour ses affaires. Quand Mitchel refuse, Gant décide de le faire plier, ne reculant devant rien pour arriver à ses fins…

Le premier argument qui m'a poussée à voir ce film est le casting. Que demander de plus que Keira Knightley et Colin Farrell à l'affiche avec même en prime une petite apparition de Jamie Campbell Bower (Sneeney Todd, Anonymous et La Cité des Ténèbres)! Mais malheureusement, pour un bon film, un casting ne suffit pas... L'histoire se met en place très lentement et le personnage principal, Michel, se dévoile peu. Pour la première fois, Keira ne m'a pas convaincue, j'avais l'impression qu'elle venait juste faire cadeau de sa présence mais sans grande conviction (le rôle n'était pas non plus grandiose alors on la pardonne). L'histoire d'amour entre elle et Michel était sans interêt. On passe sans cesse "du coq à l'âne" comme on dit, si bien qu'on a l'impression de voir deux films vaguement liés. De plus, la fin était complètement bâclée et bizarrement pour une fin triste je n'ai pas pleuré ce qui est mauvais signe... J'ai trouvé à plusieurs reprise le comportement de Michel stupide (pourquoi ne s'enfui-t-il pas?) et cela m'a beaucoup dérangé, c'était mon instinct de survie contre le sien ! Je pense que le réalisateur a voulut faire un grand film de mafia en jouant sur des thèmes durs mais le mélange avec la star torturée qui reste cloîtrée dans sa maison et le S.D.F. tué à coup de couteaux ne se mariait pas vraiment et le goût à l'arrivée n'était pas terrible... On a voulut faire un riche condensé de tous les drames sociaux possibles et imaginables pour un seul  film et je trouve que pour des thèmes aussi importants c'est dommage de tomber dans la médiocrité. Mais je vous rassure, il reste quand même quelques petits points positifs mais pas de grands miracles possibles ici.

 

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9 janvier 2013

Avis à tous nos visiteurs #6

Avis à tous nos visiteurs #6
Bonjour à tous ! C'est les vacances ! Enfin ! Le Bac français est passé donc plus de pression jusqu'à la rentrée prochaine. Pour fêter ça, un repos bien mérité et de nouvelles expériences littéraires et cinématographiques ! Vous pouvez encore trouver...
9 janvier 2013

Infos en vrac

- La date de sortie française de La Cité des ténèbres enfin dévoilée ! Rendez-vous donc dans les salles le 18 août 2013 !!! (source ICI)

- Hunger Games : L'embrasement sortira quant à lui chez nous le 27 novembre 2013, soit dans moins d'un an. Les premières images ont été dévoilée dans le magasine EW (sources ICIICI)

catching fire

- Le casting pour le personnage de Quatre dans l'adaptation cinématographique de Divergent se poursuit et les acteurs Alex Pettyfer, Lucas Till et Jeremy Irvine sont désormais considérés comme favoris pour jouer aux côtés de Shailene Woodley (source ICI).

Alice.

 

7 janvier 2013

Lou, tome 6 : L'âge de cristal, Julien Neel

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Toujours à garder son petit frère obnubilé par les dinosaures, à sortir et à travailler pour le gouvernement, Lou en oublierait ces grands cristaux roses apparus dans la ville. Alors Lou, on se réveille ? (source ICI)

Comme la plupart des fans de la série Lou, j'ai été très étonnée par la tournure que prennent les événements. Je m'étais habituée a une certaine routine installée au fil des tomes et je peux vous dire que ce dernier volet amène ici une grosse cassure. Je dois vous avouer qu'après ma première lecture, je n'ai absolument rien compris... J'ai vraiment eu l'impression qu'il manquait quelque chose d'essentiel entre Laser Ninja et L'âge de Cristal. J'ai cru lire une BD de science-fiction complètement déjantée, avec cette histoire de cristaux roses, d'espaces-temps et d'opérations top-secrètes avec des petits lapins blancs... Les graphismes sont eux aussi différents et peuvent paraître bâclés mais je pense que toute cette fantaisie est en fait très bien contrôlée par l'auteur... Il y a dans la BD tout plein de symboles mystérieux, comme des pièces de puzzles dispersées dans le journal intime de Lou (en début et fin de livre) que j'ai réussi à trouver reformé (voir plus bas, source ICI). Au final, j'ai quand même bien aimé ce volet malgré ma compréhension laborieuse et l'impression de rester sur ma faim que j'ai eue en fin de lecture.

questions-réponses avec Julien Neel : http://kwest.com/LOU

Alice.

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Pour plus d'infos, rendez-vous sur le site suivant : Fan de Lou la B.D

6 janvier 2013

Divergente T1 et T2, Veronica Roth

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Comme la plupart des fans de la série, j'ai été très déçue par la couverture des rééditions de Divergente, ainsi que par le changement de titre (en VO, le tome 2 se nomme Insurgent) en comparaison aux couvertures VO qui sont magnifiques. Mais comme l'a précisé Nathan sur sa page Facebook, la qualité des aventures de ris reste inchangée. (source ICI)

Cela fait longtemps que je devais faire la critique du tome 1 mais, après réflexion, j'ai préféré attendre la sortie du tome 2 afin de faire un condensé des deux.

ELLE EST DIVERGENTE.
ELLE EST EN DANGER DE MORT.

Dans un monde où on ne peut appartenir qu’à une seule faction parmi 5, une jeune fille apporte le chaos.
Dans un Chicago post-apocalyptique, la société est divisée en 5 factions : les Altruistes, les Audacieux, les Sincères, les Érudits et les Fraternels. Chacune est consacrée au culte d’une vertu dans l’espoir de créer une civilisation parfaite. Les enfants grandissent dans la faction où ils sont nés. À 16 ans ils doivent choisir quelle sera la leur, pour la vie. Avant de prendre cette décision, ils passent des tests pour connaître la vertu la plus proche de leur personnalité. Pour Beatrice, issue d’une famille Altruiste, le choix s’annonce plus difficile encore. En effet, cas rarissime, ses tests d'évaluation lui donnent le choix : elle est donc divergente... Et elle doit cacher ce secret, susceptible de la mettre en danger de mort ...
(source ICI, ICI)

Comme vous l'aurez compris, Divergent fait partie de cette vague de livres de dystopie pour ado provoquée par le succès d'Hunger Games. Parmi ces livres, on trouve de la bonne comme de la mauvaise qualité. Divergent(e) fais sans aucun doute partie de la première catégorie ! Ce livre est fantastique et n'as rien à envier à Hunger Games !

Tout d'abord, j'ai énormément aimé Tris, l'héroïne de ce roman. Elle a une volonté exceptionnelle avec un petit côté téméraire et caractériel que j'ai beaucoup aimé ! Ses parents sont tous deux des Altruistes et c'est donc dans cette faction qu'elle a passé sont enfance avec son frère, Caleb. Tris voue une grande admiration aux Altruistes, qui sont tournés vers la dévotion totale, ne nourrissent pas d'ambitions personnelles et vivent plus pour les autres que pour eux-mêmes. C'est cet état d'esprit, qui leur a valu leur nomination au gouvernement de la ville. Elle-même ne se sent pas digne d'eux et se considère trop égoïste pour cette faction, ce qui va l'amener à choisir les Audacieux. Ils ont pour charge de garantir la sécurité de la ville vis à vis de l'extérieur et de faire régner l'ordre en son sein. Pour être admise par les Audacieux, Tris doit réussir une période d'initiation, où elle apprend, avec les autres postulant, à manier les armes et surmonter ses peurs. Là-bas, elle fait la connaissance de Christina, Will et Al, qui deviennent ses amis, ainsi que de Quatre (vous comprendrez en lisant pourquoi ce surnom). Il est membre des Audacieux et instructeur de Tris, il sera le premier à découvrir qu'elle est divergente et il est celui dont elle tombera profondément amoureuse. Après que Tris ai découvert sa divergence, les choses vont s'accélérer et de nombreux évènements imprévus vont bouleverser toutes ses certitudes. 

L'évolution de Tris durant les deux tomes est spectaculaire et elle va devenir une sorte de wonder-woman avec un petit côté dark que j'admire beaucoup,  Elle a le mérite de garder la tête haute dans toutes circonstances, malgré ses peines et ses remises en question, et je crois même l'avoir préférée à Katniss. D'ailleurs, tous les personnages sont supers et uniques en leur genre et les relations entre eux bien décrites et parfois très touchantes. Quatre a été pour moi un vrai coup de coeur et je l'ai largement préféré à Petta et Gale. J'ai adoré son côté mystérieux et un peu distant et sûr de lui (il peut...) des débuts mais j'ai aussi apprécié son côté sensible, toutefois moins présent. Sa relation avec Tris est vraiment touchante sans, heureusement devenir trop mièvre. L'univers de Veronica Roth est vraiment bien trouvé et n'a rien de déjà-vu, certains aspect restent aussi assez flous et suites à des révélations en fin du tome 2, on peut s'attendre à une explication des "origines" de ce monde dans la suite de la série. Un autre point positif de cette trilogie est le rythme haletant que parvient à lui donner Veronica Roth. Tout est très bien dosé, on a de l'action et de l'émotion, du suspense de l'amour et du désespoir le tout de façon bien mesurée et contrôlée.

Les deux tomes se valent, avec plus d'action dans le second mais sans altération à la qualité du roman. J'ai trouvé le comportement de Quatre parfois un peu surproducteur dans le deuxième tome mais, avec le recul, je le comprend très bien puisque Tris se met vite en danger, parfois inutilement. Elle fonce un peu tête baissée mais les horreurs qu'elle a vécu dans la fin du tome 1 lui servent évidemment de circonstances atténuantes. Je ne peux pas parler précisément de l'intrigue sans spoiler donc je m'excuse pour le peu de détails mais pour ceux qui ont lu le tome un, je peux dire que la tension s'intensifie entre les deux "adversaires" et que les confrontations sont de plus en plus sanglantes et cruelles.

Divergente est donc pour moi un super livre de dystopie qui a, pour moi, réussi à égaler Hunger Games, avec des personnages attachant et une intrigue efficace. A lire absolument !

Alice.

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6 janvier 2013

Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête, Tim Burton

Résumé Allo ciné: En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs cadavres sont successivement retrouves décapitées. Les têtes ont disparu. Terrifies, les habitants sont persuades que ces meurtres sont commis par un étrange et furieux cavalier, dont la rumeur prétend qu'il est lui-même sans tête. Les autorités new-yorkaises envoient alors leur plus fin limier pour éclaircir ce mystère. Ichabod Crane ne croit ni aux légendes, ni aux vengeances post-mortem. Mais, a peine arrivé, il succombe au charme étrange et vénéneux de la belle Katrina Van Tassel. 

Comme de coutume, on reconnaît le style unique du réalisateur et ses thèmes de prédilection. Le soin et la recherche accordés à créer une ambiance à la fois fantastique et très sérieuse est remarquable. Dès la première scène ont est dans le film avec l'effroyable entrée du cavalier sans tête. De tout le film on ne voit quasiment pas la lumière du jour, c'est très angoissant et désagréable au début mais on s'y habitue vite. En revanche, contrairement à ses autres films, Tim Burton ne cherche pas à tourner la mort en dérision, ici il cherche plutôt à faire peur ! D'ailleur le film est déconseillé au moins de 12 ans bien que je m'attendais à quelque chose de plus violent... J'ai été absolument séduite par les costumes (critère auquel je suis très attachée) tout en originalité, sobriété et élégance. L'intrigue quant à elle est assez complexe car elle ne se révèle pas aussi simple que prévue. Au début j'ai eu du mal à suivre à cause des noms et des nombreux personnages qui sont tous importants. Ce film est une véritable enquête policière et cet aspect m'a séduite ! De plus le cadre noir et oppressant la rend prenante et enivrante, on suit l'action comme si notre vie en dépendait. La tension entre chaque attaque du cavalier est intense et l'avancée coude à coude de l'enquête et des meurtres en série ajoute grandement à cet effet de suspense insoutenable. J'ai souvent eu l'impression de jouer au jeu du loup, on sait qu'il est parmi nous mais on sais pas qui c'est jusqu'au moment où il s'en prend à nous. Le personnage de Jonnhy Deep, l'enquêteur très terre à terre Ichabod Crane (avec un nom pareil vous comprenez pourquoi on met du temps à savoir qui est qui...) est très drôle car il très peureux et complètement dérouté par les évènements de Sleepy Hollow mais il est aussi le seul à avoir assez la tête sur les épaules pour comprendre ce qui se trame (très paradoxal !). Son histoire est très touchante (même si elle est invraisemblable et peu convaincante) et grâce à elle on comprend mieux son caractère et sa façon de penser.

Avec Johnny Deep et Christina Ricci

"Et-il mort?

-Tout le problème est là ! Il est mort depuis longtemps...

 

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 Val

5 janvier 2013

Bad Kitty, Michele Jaffe

22837903_3457579Jasmine a une caractéristique dont elle se passerait bien: elle a la poisse ! Quoiqu'elle fasse, elle se retrouve toujours mêlée à des histoires impossibles ! Alors qu'elle est en vacances à Las Vegas avec sa famille, elle se retrouve malgré elle plongée au coeur d'une enquête policière : un célèbre mannequin et son fils sont menacés. Aidée par son trio d'amis venus à la rescousse, et après de multiples péripéties, Jasmine parviendra à faire éclater la vérité.   source ICI

On a beau dire, ça fait toujours du bien de se plonger dans une lecture drôle et pas prise de tête. Même si Bad Kitty n'est pas un chef-d'oeuvre littéraire et même si on ne ressent pas particulièrement d'émotions fortes durant la lecture, il reste très agréable à lire. L'écriture de Michele Jaffe (Hantise, Fleur de fantôme) et très fraiche, un brin impertinente et sans aucun doute très divertissante. On est plongés dans les pensées de Jaz, 17 ans, qui est bien éclairée à tous les étages et fais preuve d'un sarcasme amusant vis avis des gens qui l'entourent. L'auteur a parfaitement bien réussi retranscrire ce à quoi peuvent ressembler les méandres du cerveau d'une adolescente bourrée d'hormones avec des tonnes de questions rhétoriques hilarantes mais qu'on s'est sans doute tous déjà posé. Cela donne à ce livre un aspect désorganisé-décapant, on passe parfois du coq à l'âne sans raison particulière et il est parfois dur de suivre Jaz et son cerveau qui tourne à 100 à l'heure.

Question intrigue, ce n'est pas le top du top et je n'ai pas eu beaucoup de mal à deviner qui était le coupable, même avant les révélations finales. C'est sans doute un aspect qui m'a un peu déçue car après les deux livres de Michele Jaffe que j'avais lus précédemment (voir plus haut), je m'attendais à mieux de sa part. Et tout cas, on retrouve ici aussi un panel de personnages hauts en couleurs tous plus drôles les uns que les autres, qui promettent des réparties et des dialogues excellents bien que pas très spirituels ^^

Je conseille ce livre pour ce changer les idées sans trop de complications et pour rire un bon coup, ou au moins sourire, quasi toutes les pages.

Alice.

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5 janvier 2013

Beetlejuice, Tim Burton

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    Pour avoir voulu sauver un chien, Adam et Barbara Maitland passent tout de go dans l'autre monde. Peu après, occupants invisibles de leur antique demeure ils la voient envahie par une riche et bruyante famille new-yorkaise. Rien à redire jusqu'au jour où cette honorable famille entreprend de donner un cachet plus urbain à la vieille demeure. Adam et Barbara, scandalisés, décident de déloger les intrus. Mais leurs classiques fantômes et autres sortilèges ne font aucun effet. C'est alors qu'ils font appel à un "bio-exorciste" freelance connu sous le sobriquet de Beetlejuice.   source ICI

Qui d'autre que Tim Burton aurait pu réaliser ce film ? Il a ici fait preuve d'un degré de folie et d'extravagance rarement vu. Ce film est un fouillis total de scènes plus loufoques et improbables les unes que les autres pour le plus grand bonheur des fans, avec en prime ce petit côté horrifique dont Tim Burton a le secret. Il met aussi en scène un de ses grands classiques : la mort (voir L'étrange Noël de Mr Jack ou Les Noces Funèbres) de façon très drôle et décomplexée, en dédramatisant ce qui est sans doute l'une des plus grandes peur des hommes, et on en vient presque a dire que finalement "ce n'est pas si horrible que ça".

Beetlejuice réalisé par Tim Burton avec Michael Keaton (Beetlejuice), Alec Baldwin (Adam Maitland), Geena Davis (Barbara Maitland), Wynona Ryder (Lydia Deetz)

Alice.

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5 janvier 2013

The Lying Game T3 : Action ou vérité, Sara Shepard

Attention aux spoiler pour ceux qui n'ont pas lu les tomes 1 & 2 !!

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4ème de couverture : Qui a tué ma soeur Sutton ? Le beau Thayer, soudain de retour parmi nous ? Laurel, notre petite soeur, si sage en apparence ? Ma nouvelle vie est une énigme... Les reines du mensonge poursuivent leur jeu. Mais je peux compter sur Ethan,toujours à mes côtés.Enfin, je crois...

On retrouve dans ce troisième tome Emma et Sutton, sa soeur-jumelle-tuée-devenue-fantôme (un aspect de la narration qui me dérange toujours autant) là ou on les a laissées à la fin du tome 2 : face à Thayer. Petit rappel (attention spoiler) pour ceux/celles qui l'aurait oublié, Emma a passé tout le tome 2 à essayer de démontrer que Lily et Gaby, les jumelles twiteuses, ont assassiné Sutton avant se rendre compte que ce n'est pas le cas. Et hop ! Retour à la case départ...

Et malheureusement, c'est un scénario type qui s'est répété dans ce tome 3, à ma plus grande peine. Cette série est lente, lente, lente... Que ce soit les relations entre personnages (notamment Emma et Ethan) ou l'avancée de l'intrigue, on attend tout le roman quelque chose qui n'arrive que dans les 50 dernières pages. C'est vraiment dommage car la série a un bon potentiel et l'intrigue est bien ficelée, mais j'en viens à me dire qu'il est dommage de gaspiller 16 € pour un livre de 300 pages en gros caractères, qui se lit en 2 heures. Je ne saisis pas très bien le but de l'auteure mais toujours est-il que cela devient franchement agacent. Et puisqu'ont en parle, Emma commence elle aussi à m'agacer sérieusement par son manque de volonté et de personnalité flagrant ainsi que par son attitude parfois trop craintive, pas assez téméraire à mon goût. Ethan, qui oscille entre le poète torturé et le petit ami surproducteur m'a lui aussi énervé, dommage car ici aussi, il y avait du potentiel. J'en vient donc à préférer les amies de Sutton, Charlotte et Madeline, car même avec leur malsain jeu du mensonge, elles restent moins gnangnan que nos deux tourtereaux. Grosse déception aussi du côté de Thayer qui tombe lui aussi dans la mièvrerie et n'est pas tout à fait le bad boy auquel je m'attendais. Dernière petite critique et je m'arrête pour aujourd'hui : le style de l'auteur un peu puéril qui laisse franchement à désirer.

Bien sûr cette série n'est pas entièrement raté, le suspense est toujours là et j'ai toujours envie de connaître le fameux coupable mais j'avoue que mon enthousiasme du début commence à s'essouffler et je ne sais pas si je continuerai à lire cette série jusqu'au 7ème tome si les choses restent telles qu'elles.

Alice.

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1 janvier 2013

Bonne Année!!!

Nous vous souhaitons une bonne année 2013 pleine de bonheur, de belles découvertes littéraires et de grands moments cinématographiques !!! Nous vous remercions pour votre lecture depuis ces quatres premiers mois et nous espérons que nos petites critiques vous accompagnerons tout au long de cette belle et nouvelle année qui se profile !

Alice au Royaume de Coeur, Soumei Hoshino

Alice et Val

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