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Val et Alice in Wonderland
27 juin 2013

Le jeudi c'est Jeu livresque #4

jeudijeulivresque

Le jeudi c’est Jeu Livresque, c’est un rendez-vous sur 8 semaines pour jouer avec nos livres, nos bibliothèques et nos romans préférés lancé par Secret Forbidden World.

Semaine 4 : lecture et musique (parlez-nous d’une musique découverte dans un livre, dans une playlist d’auteur, d’une chanson qui vous fait penser à un livre, qui a été écrite pour un livre… bref, tout ce qui associe livres et musique.)

Val : J'ai redécouvert Keane avec Terrienne de Jean-Claude Mourlevat, je dis redécouvert parce que je connaissais les chansons mais je ne savais pas c'était Keane... Maintenant j'écoute moins mais à chaque fois je revois Gabrielle marcher comme une folle pensant vivre ses derniers instants. Bien sûr il y aussi le Monde de Charlie qui remplit désormais ma playlist.

Alice : Dernièrement, le livre de Russell Banks Sous le règne de Bone et son ambiance rasta m'ont donné envie d'écouter du reggae. J'ai aussi découvert Jimmy Cliff (que je ne connaissais que de nom), notamment les chansons Hey, Mr Yesterday et Many Rivers to cross. Ensuite, comme Val, j'ai beaucoup aimé les musiques du Monde de Charlie (même si je n'ai vu que le film...), notamment Low, du groupe Cracker.

 

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24 juin 2013

Le meilleur des mondes, Aldous Huxley

le meileur des mondeRésumé : Les expérimentations sur l'embryon, l'usage généralisé de la drogue. Ces questions d'actualité ont été résolues dans l'État mondial, totalitaire, imaginé par Aldous Huxley en 1932. Défi, réquisitoire, anti-utopie, ce chef-d'oeuvre de la littérature d'anticipation a fait de son auteur un des témoins les plus lucides de notre temps.

Je vais faire court pour ce livre parce que je n'ai pas pu accrocher et d'ailleurs je ne suis même pas arrivée jusqu'au bout. Je ne le déconseille pas particulièrement, parce qu'il reste un livre interessant, mais en ce qui me concerne, j'ai trouvé que qu'il méritait d'être plus clair dans son écriture et dans son intrigue. J'ai passé le premier tier du livre à me demander qui était qui, quel statut avait chaque personnage: Alpha ?, Bétâ ?... Quelque chose qui m'ennerve au plus haut point. De plus, certains passages étaient parfaitement incompréhensibles... Quant aux personnages, aucun n'est attachant et leur mode de fonctionnement m'a profondément agacé (c'est le but de l'auteur vous me direz...). J'ai néanmoins apprécié la description de la "création" des enfants et de leur éducation ainsi les nombreuses références plus ou moins cachées (comme par exemple dans les noms des personnages).

L'histoire n'a rien de prenant et j'ai été déçue par les longueurs inscessantes qui gâchent la dynamique de l'oeuvre. J'ai tout de même aimé la portée visionnaire et "préventive" mais je n'y ai trouvé rien de plus.

Voici une phrase du philosophe russe Nicolas Berdiaev trouvée sur Wikipédia qui résume assez bien l'enjeu de ce livre : « Les utopies apparaissent comme bien plus réalisables qu’on ne le croyait autrefois. Et nous nous trouvons actuellement devant une question bien autrement angoissante : comment éviter leur réalisation définitive ?… Les utopies sont réalisables. La vie marche vers les utopies. Et peut-être un siècle nouveau commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d’éviter les utopies et de retourner à une société non utopique, moins parfaite et plus libre. »

Val

20 juin 2013

Le Jeudi c'est Jeu livresque #3

jeudijeulivresque

Le jeudi c’est Jeu Livresque, c’est un rendez-vous sur 8 semaines pour jouer avec nos livres, nos bibliothèques et nos romans préférés lancé par Secret Forbidden World.

Semaine 3 : le livre qui vous a fait le plus pleurer

Alice : Je dois être insensible mais je n'ai jamais pleuré pour un livre... Toutefois, il m'est arrivée d'être très triste après la lecture d'un livre (je ne suis pas inhumaine non plus ^^). Celui qui m'a le plus déprimée est sans hésitation le tome 1 de Entre chiens et loups (chronique ICI), la fin étant tout simplement horrible. J'ai adoré ce roman, vraiment très émouvant, mais je dois dire que la fin est sans aucun doute la plus intense. Plusieurs heures après avoir refermé le livre il m'est resté une boule au ventre...

Val : En ce qui le concerne, je suis une pleurnicharde dans l'âme et j'ai la larme à l'oeil pour un rien... Cette question est donc très difficile ^^ Après mure réflexion, je pense pouvoir dire que Le monde de charlie est celui qui dernièrement m'a fait le plus pleurer (à la fois parce que c'est triste et aussi parce que c'est super émouvant comme bouquin). Comme Alice, Entre chiens et loups (décidément ce livre met tout le monde K.O.) m'a fait beaucoup pleurer mais cette fois-ci c'était plus par frustration et par colère (j'ai quand même adoré rassurez-vous). La fin était vraiment injuste et je me suis sentie totalement impuissante. Dans les derniers chapitres j'étais déjà à cran à cause de toutes ses émotions fortes et voilà, aux dernières pages j'ai craqué. Après, d'une manière générale les livres de Zafon me secouent bien, surtout Marina.

livres qui nous ont fait pleurer

Val et Alice.

18 juin 2013

Jeu livresque

jeudijeulivresque

J'ai décidé de participer au Jeu livresque organisé par Lothfleur, de Secret Forbidden World.

Le jeudi c’est Jeu Livresque, c’est un rendez-vous sur 8 semaines (tous les jeudis donc) pour jouer avec nos livres, nos bibliothèques et nos romans préférés.

Je pars avec un retard de deux semaines, j'ai donc décidé de faire les deux premières semaines en un seul message et ce jeudi, je reprendrais le rythme, surement avec Val.

Alice.

Semaine 1 : une photo de votre (vos) bibliothèque(s)

   IMG_0815

Ci dessus, ma bibliothèque prinicpale. 

Semaine 2 : votre prénom (ou pseudo) dans un livre :    

IMG_0818

Mon pseudo fait bien sûr référence à la plus célèbre Alice de tous les temps. La seule à avoir rencontré un lapin en retard, une chenille qui fait des ronds de fumée, un chapelier fou, un chat qui sourit... et j'en passe ! Je parle, bien sûr, d'Alice au Pays des Merveilles ^^

Alice.

17 juin 2013

Découverte : Elena Kalis

C'est assez récemment, en farfouillant sur le web, que j'ai découvert Elena Kalis. Photographe basée sur une île des Bahamas, elle est spécialisées dans les portraits et photographies sous-marines. Je suis tombée sous le charme de ses clichés féériques et envoutants et j'avais envie de vous en faire partager quelques-uns.

 

Voici quelques photographies appartenant à la série "Alice in Waterland" :

 

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underwater_alice09

 

alice_underwater copy

 

D'autre photographies, de la série "Ocean Song" :

 

underwater_elena_kalis49

 

underwater_elena_kalis55

 

Un échantillon de la série "Dark water" :

 

underwater_dark28

 

underwater_dark14

 

Et enfin, quelques photos de la série "Rhianne" :

 

underwater_elena_kalis03-1

 

underwater_elena_kalis04

 

 

Underwater Carousel from Elena Kalis on Vimeo.


Vous trouverez ICI le site officiel de la photographe et ICI une interview (traduite en français)

 

Alice.

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16 juin 2013

Sous le règne de Bone, Russell Banks

Russell-Banks-Sous-le-regne-de-Bone

4ème de couverture : "Mon existence est devenue intéressante, disons, l’été de mes quatorze ans. J’étais à fond dans la fumette et comme j’avais pas d’argent pour m’acheter de l’herbe je me suis mis à fouiner tout le temps dans la maison pour dénicher des trucs à vendre - mais il n'y avait pas grand chose" C’est alors que Bone, avec sa crête, son nez percé et le tatouage fondateur de son identité - des os en croix - prend la route, et que le roman se déploie au fil de ses aventures et de ses rencontres avec tout ce que l’Amérique puis la Jamaïque comptent de marginaux, d’aventuriers et de sages. Un percutant roman de formation sous forme de road movie.

Ce roman est le premier que j'ai lu de Russell Banks, mais surement pas le dernier !

J'ai beaucoup aimé ce livre, à la fois intense et drôle. Il dépeint une tranche de la vie de Bone, entre une petite ville de l'Etat de New-York et les plantations de ganja en Jamaïque.

Bone est un personnage qui m'a bien plu. J'avais quelques appréhensions vite envolée, puisqu'il s'est révélée être intelligent, drôle et touchant. J'avais peur qu'il soit trop inconscient, déconnecté de la réalité et d'une certaine morale, mais pas du tout. Contrairement à certains des personnages qu'il va rencontrer, il garde les pieds sur terre et fait preuve de maturité face aux événement. Il m'a donné l'impression de chercher quelque chose sans trop savoir quoi, la liberté, l'aventure ou même de l'affection... La plume de l'auteur permet de se sentir au plus près de son personnage, de ressentir chacune de ses émotions, notament en utilisant un langage familier (ce qui m'a parfois rappelé L'attrape-coeurs).

Durant son voyage, Bone va côtoyer de nombreux individus sans aucun liens entre eux, mais unis par une même extravagance (parfois flippante, je l'avoue...), ce sont en partie eux qui créent cette diversité dont le roman est empreint.

Pour moi, ce roman est en quelque sorte un récit de découvertes. Pour nous, lecteurs, comme pour Bone. Découvertes de lieux, d'individus, de cultures, et de modes de vie pour le moins étranges, mais intéressants. C'est un aspect du roman que j'ai adoré, les différentes ambiances dans lesquelles Russell Banks plonge le lecteur, qui se laisse emporter sans avec fluidité. Cette sensation de voyage et quasi omniprésente, l'auteur nous fait aller de surprises en surprises et met en lumière une société américaine peu connue et parfois dérangeante. Toute la deuxième partie du livre, qui s'introduit dans le mode de vie "rasta" jamaïcain m'a permis de le découvrir sous un angle un peu moins cliché, ce qui m'a beaucoup plu.

Je pourrais cependant reprocher à ce roman quelques longueurs dans le début, j'ai eu un peu de mal a rentrer immédiatement dans l'histoire.

Je vous conseille ce livre pour son immense diversité d'atmosphères et de personnages, pour son invitation à la liberté et l'évasion, et pour Bone, personnage exceptionnel.

Alice.

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10 juin 2013

Django Unchained, Quentin Tarantino

imagesCAXSHAY2Synopsis (allociné): Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…

Et encore un gros coup de coeur avec Django Unchained du déjanté Tarantino ! Le réalisateur s'attaque au western et sort des sentiers battus en modernisant le genre. Et en avant avec les litres de sauces tomates, avec Django on repeint les murs ! Tarantino fidèle à lui même classe le film interdit au moins de 12 ans et ne lésine pas sur la hauteur du giclage... Cet excès de violence est bien entendu à prendre au second degrés même si je le déconseille fortement aux âmes sensibles ! Les dialogues et les répliques du docteur Schultz sont énergiques et rythment le film de façon a ce qu'il n'y ai aucun moment d'ennui ! Également une bonne dose de rire avec le docteur Schultz, son acolyte Django et leur humour casant... Je retiendrai également la musique, mélange décalé mais très réussi de rap, de musique années 60 et bien sûr de musique de western (dont une de Ennio Morricone, compositeur que j'adore !).

Casting: Jamie Foxx (Django), Christoph Waltz (Schultz), Léonardo DiCaprio (Candie), Samuel L. Jackson (Stephen), Kerry Washington (Broomhilda), Quentin Tarantino himself ! (Frankie)

Bande d'annonce:

Et maintenant un peu de musique avec cette belle découverte dans la bande originale (je l'écoute en boucle !): 

django-unchained

Val

10806011-etoiles-de-notation[1]

4 juin 2013

Promised Land, Gus Van Sant

PROMISED+LAND

Steve Butler, représentant d’un grand groupe énergétique, se rend avec Sue Thomason dans une petite ville de campagne. Les deux collègues sont convaincus qu’à cause de la crise économique qui sévit, les habitants ne pourront pas refuser leur lucrative proposition de forer leurs terres pour exploiter les ressources énergétiques qu’elles renferment. Ce qui s’annonçait comme un jeu d’enfant va pourtant se compliquer lorsqu’un enseignant respecté critique le projet, soutenu par un activiste écologiste qui affronte Steve aussi bien sur le plan professionnel que personnel… (source ICI)

Je n'avais pas d'attantes spéciales vis à vis de ce film, que je suis allée voir pour combler ma soirée et parce que le synopsis n'avait pas l'air mal. Au final, mon avis est un peu mitigé mais pas totalement négatif.

Les points positifs :

- La représentation de la campagne américaine, très réussie d'un point de vue esthétique. L'ambiance qui s'en dégage m'a beaucoup plu. Cette vision de l'Amérique, loin des clichés habituels, permet une réelle ouverture d'esprit. Il faut cependant garder en tête qu'il ne s'agit que d'un film, où on ne nous montre que ce qu'on veut que nous faire voir...

- Le personnage de Sue, son humour sarcastique qui m'a bien plu ^^

- La mise en valeur du côté manipulateur des grandes multinationales américaines. J'ai trouvé très intéressant le  deuxième retournement de situtation qui survient en fin du film, il amène quelque chose d'assez effrayant sur la manière peu conventionnelle des entreprises de berner (presque) tout le monde.

Les points négatifs :

- Le personnage de Steve, qui m'a parfois énervée. Je l'ai trouvé trop naïf et crédule. Il est persuadé d'oeuvrer pour le bien commun, de satisfaire tout le monde de manière égale et sans effets négatif. Il a vraiment mis beaucoup de temps à réaliser que l'entreprise pour laquelle il travaille n'est pas blanche comme neige, alors que celà paraissait évident.

- L'histoire d'amour entre Steve et Alice trop conventionnelle, même si j'ai bien aimé cette dernière.

- La fin, typiquement "américaine", et trop idéaliste. Le film a perdu beaucoup de son potentiel choc dans les dernière 10 minutes, ce qui est vraiment dommage. Je m'y attendais cependant un peu, Promised Land reste un film avec un assez gros budget et non pas un petit film indépendant...

En conclusion, un film plutôt agréable et avec de belle images, de beaux paysages, mais un engagement pas tout à fait à la auteur de la cause défendue.

  

Promised-Land-poster

Alice.

 


Pour les curieux : Le site Rue89 regroupe pas mal d'infos, d'images et d'article sur le sujet polémique du gaz de schiste ICI

2 juin 2013

Nouvelle affiche Catching Fire

Voici la dernière affiche en date de Hunger Games - L'embrasement, qui sortira le 27 novembre 2013 en France (source)

 

15

 

Et la bande annonce en sous titré français :

 

Liam Hemsworth, Jennifer Lawrence, Sam Clafin et Francis Lawrence (le réalisateur) à Cannes :

catching-fire-photocall-cannes-11

source de l'image ICI

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